Lycée
…………………….. Année scolaire 20…. /20…..
Cellule
de ………………...
Exposé
No………………...
Classe
de …………………
LES FACTEURS DE PRODUCTION
Plan :
Introduction
I-Les ressources naturelles
II-Le capital
III-Le travail
1.
L’évolution des emplois/secteurs :
a. Le secteur primaire :
b. Le secteur secondaire :
c. Le secteur tertiaire :
d. Conséquences
Conclusion
Les exposants :
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Sous
la Direction de M………………………..
Introduction
D’un
point de vue économique, les facteurs de production
sont les moyens mis en œuvre par une
organisation (entreprise, administration…) pour produire
et commercialiser sur le marché des biens et des services. Ils
ont pour objectif la satisfaction des besoins de l’homme.
I- Les ressources naturelles
C'est un avantage essentiel pour un pays d'être bien doté en
ressource naturelle pour son développement économique. Ainsi, des pays tel que
les Etats Unis, les pays d'Europe ont construit leur développement économique
sur l'extraction et la transformation des matières premières.
A l'inverse, des pays moins riches en ressources ont
beaucoup plus de mal à se développer. Ainsi, plus un pays est bien doté en
ressource naturelle, plus son commerce extérieur pourra en profiter.
Par exemple, les USA et la France sont parmi les très gros
exportateurs de céréales.
C'est vrai aussi pour les ressources de sous-sol
(pétrole). Ceci dit, d'autres pays ont peu de ressources naturelles et se sont
très vite développé (Japon, Asie du Sud Est = NPI) alors que d'autres ont
beaucoup de ressources naturelles (Afrique) mais n'ont pas pour autant atteint
un niveau économique important. Cela signifie donc que d'autres facteurs,
notamment historique jouent également un rôle majeur dans le développement
économique.
II- Le capital
Acceptation usuel : capital fixe - capital circulant.
Il s'agit de capital matériel uniquement. Mais quand
celui ci a une forme stable, c'est le capital fixe (camion) et circulant c'est
quand la forme va vite se transformer (un tollé, une vis) Il y a aussi le
capital financier.
Maintenant, lorsque l'INSEE parle de capital, c'est
l'investissement matériel appellé FBCF (Formation Brut de Capital
Fixe)
Définition:
C'est la valeur des biens durables acquis par les unités résidentes pour être
utilisées pendant au moins un an dans le processus de production.
Elle est dite "brute" parce qu’elle
comprend l'investissement de remplacement (amortissement) et l'investissement
net(FNCF).
Dans la réalité, ces 3 investissements sont mêlés. Entre le
besoin d'investir et sa réalisation intervienne un certains nombres de facteurs:
·
La
capacité financière de l'entreprise
Plus l'autofinancement est important, plus le désir
d'investir a des chances de se réaliser.
·
Le coût du
financement
Si l'entreprise ne peut entièrement s'autofinancer. Si le
taux d'intérêt des capitaux empruntés est supérieur au profit attendu de
l'investissement, il n'y a pas de profitabilité et donc l'investissement ne se
fera pas.
·
L'évolution
anticipée de la demande
Si les industriels n'imaginent pas que la hausse de la
demande va être durable, ils n'investiront pas. Il faut donc faire des
anticipations.
·
La
rapidité du développement technologique
·
La
capacité en profitant d'un nouvel
investissement de faire des prix de vente acceptables par le public. (prix
d'acceptabilité)
Historiquement, et particulièrement si on compare au début
de de la RI, le problème du financement des investissements est devenu de plus
en plus un verrou à l'entrée sur le marché des concurrents potentiels dans tous
les secteurs à immobilisation lourde de capital, provoquant ainsi la
concentration des entreprises.
Aujourd'hui, se développent des investissements d'un nouveau
type appelé immatériel, qui ne sont pas comptabilisés dans la
FBCF mais qui pourtant ont comme caractéristique d'être investis dans
l'entreprise sur une longue période pour améliorer son efficacité comme le sont
les investissements immatériels. Plusieurs catégories se dégagent :
·
Investissement destiné à mettre en œuvre
de progrès qu'on appelle aussi dépense de R/D. (Mise en place de labo de
recherche, matériel, équipement de chercheurs de haut niveau, acquisition de
brevet...)
·
La formation (LT). C'est
devenu essentiel pour les entreprises pour s'adapter aux nouvelles technologies.
·
Investissements commerciaux :
étude de marché, la publicité
·
Les
logiciels
Ces quatre types d'investissements immatériels ont augmenté
beaucoup plus rapidement durant ces 20 dernières années que les investissements
matériels. Cette réalité traduit le fait que dans l'environnement économique
actuel, il ne suffit pas pour être compétitif d'avoir de bonnes machines
permettant une productivité élevée. Il faut également inventer les produits
adaptés, avoir un personnel performant, et savoir vendre son produit ou son
service qui même s'il n'est pas exceptionnel ne sera pas vendu si l'information
commerciale n'est pas suffisante d'où l'importance des investissements
commerciaux.
III- Le travail
Population active
: Elle comprend les personnes qui
déclarent exercer ou chercher à exercer une activité professionnelle rémunérée.
(Population active occupée et inoccupée (les chômeurs)).
Sont exclus les étudiants, les retraités, les personnes
retirées des affaires, les ménagères ou les ménagers quand elles ne contribuent
pas à l'exercice d'une profession d'un membre de leur famille.
Cette population active ne mesure pas tout le travail
réalisé dans la société. Cela mesure que ce qui est rémunéré. (Le travail
ménager n'est pas rémunéré, ni les bénévoles)
Plus les catégories de travailleurs non rémunérés sont
nombreuses dans l'économie, moins le comptage de la population active est
révélateur de la réalité. Le comptage de la population active n'intègre que la
population déclarée.
Le problème du travail totalement au noir se pose surtout
dans les pays qui n'ont ni la volonté politique, ni les moyens administratifs
de contrôler le travail ce qui concerne beaucoup plus les pays du 1/3 Monde,
les moins développés qu’es les pays industrialisés (PI). Cela ne signifie pas
pour autant que tout le travail rémunéré est déclaré dans les PDEM. Ce travail
au noir dans les PD est concentré dans quelques secteurs d'activité et concerne
généralement des emplois de faible qualification. (Le BTP, hôtellerie,
restauration, agriculture, tourisme...).
1.
L’évolution des emplois/secteurs :
a. Le secteur primaire :
Baisse ininterrompue du secteur primaire.
Attention : Quand on constate une baisse ou une hausse en %, cela ne
veut pas dire que les effectifs concernés ont baissé ou augmenté.
Le développement de la modernisation et de la mécanisation
diminue pour une même production, le besoin d'hommes. C'est la productivité qui
augmente... donc moins de salariés agricoles.
Les agriculteurs exploitant n'ont pas tous les mêmes moyens
financiers de s'équiper en matériels. De plus, la rentabilisation de ce
matériel suppose des superficies relativement importantes. Ces deux facteurs
expliquent que les petits exploitants non équipés comme les grosses
exploitations vont produire avec un coût de production unitaire nettement plus
élevé que celui des grosses exploitations dans le même domaine. La concurrence
par les prix entre petites et grosses exploitations va donc sacrifier les
petits agriculteurs.
Crise du modèle socioculturel rurale. Au cours du XXème
siècle un modèle urbain se développe où la ville est parée de nombreuses vertus
1.
Du travail
2.
Variété d'emploi
3.
Lieu de la consommation et des loisirs
4.
Lieu des administrations et services dont on aura de plus en plus besoin.
Le modèle rural (transmission de père en fils, relativement
faible consommation, ouverture limité sur l'extérieur) va donc être largement
contesté par les nouvelles générations qui vont venir nombreuses en ville pour
connaître une nouvelle vie.
b.Le secteur secondaire :
Jusqu'au début des années 70, la révolution industrielle du
19eme a multiplié les secteurs d'activités industriels (textiles, métallurgie,
sidérurgie, verre, caoutchouc, plastique...). Le développement a partir de
l'entre deux guerres accélère dans l'après 2nde guerre mondiale, de nouvelle
technologie de production (taylorisme et fordisme) qui vont permettre des prix
de vente des produits ouvrants, ainsi la période de la consommation de masse où
les classes populaires vont rejoindre la bourgeoisie dans la consommation de
biens de consommation durable (voiture, électroménager...)
A partir du début des années 70, baisse relative et absolue
des effectifs du secondaire du
1.à la relative saturation de la consommation des ménagers.
2. au développement de la concurrence mondiale, progrès très
important en productivité (robotisation et informatisation...), mouvement de
délocalisation vers les pays à bas coût de m.o (main d'œuvre).
c.Le secteur tertiaire :
Développement d'activité qui ont accompagné le développement
du secondaire (banque, assurance, transports, structure de distribution,
formation, ...)
Développement de l'intervention de l'Etat, mise en place
progressive de l'Etat providence.
Amélioration du niveau de vie qui a permis après
satisfaction des besoins primaires de se diriger vers une consommation
importante de loisirs ou encore de petits services destinés à s'épargner les
tâches désagréables du quotidien (livraison...)
d.conséquences
Société de plus en plus urbaine entraînant une concentration
géographique très importante de la population dans les villes d'où une crise du
logement, pollution...
Circulation accélérée de l'information au plan national et
mondial réduisant largement la force des cultures locales, homogénéisant de
plus en plus le mode de vie, au moins dans les pays développés.
Le passage d’un secteur dominant à d'autres a entrainé des
transferts massifs de population active d'un secteur à un autre. (Déversement)
entraînant par la une augmentation du niveau moyen de qualification et d'études
faisant passer le pays d'une population active plutôt manuelle à intellectuelle.
Conclusion :
Bonjour tout le monde ici, je m'appelle Fumo Sadiku vivant à Malindi City au Kenya.Je veux en dire un peu plus sur un bon homme de cœur appelé Benjamin Breil Lee travaillant avec le service de financement en tant qu'agent de crédit, M. Benjamin Breil Lee m'a aidé à obtenir un prêt de 37.115.225.00 Shillings sur mon temps d'essayer d'essayer de me remettre sur pied pour élever mon entreprise, je sais qu'il y a certains d'entre vous ici qui ont des difficultés financières pour parler à M. Benjamin sur ce qui est l'application + 1-989-394-3740 Ou aussi avec son E personnel -mail sur 247officedept@gmail.com Je suis si heureux de ce qu'il a fait pour moi et pour son comptable bancaire ainsi que comptable Hernandez Lucas Merci beaucoup pour votre travail bien fait.
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